La Dépêche – Entretien – Pour la rentrée scolaire, « les hypermarchés restent incontestablement les meilleurs »
Les grandes surfaces restent indispensables pour des courses de rentrée scolaire à bas prix, selon Philippe Goetzmann.
Les grandes surfaces restent indispensables pour des courses de rentrée scolaire à bas prix, selon Philippe Goetzmann.
Philippe Goetzmann cité dans cet article LSA : quand certaines enseignes sont centralisées, les coopératives, locales et proches du consommateur, ont l’avantage de pouvoir mieux répondre à ses demandes.
Cité dans cet article L’Opinion, Philippe Goetzmann explique que c’est en souhaitant encadrer les relations commerciales, en multipliant les réglementations que l’Etat français pousse les entreprises à délocaliser leurs sièges.
Dans un contexte national d’inflation, les marques distributeurs ont le vent en poupe. Moins chères et de qualité équivalente, elles font concurrence aux marques nationales et font partie intégrante des stratégies de développement des enseignes de la grande distribution.
Article rédigé par Camille Harel
Cité dans cet article d’Ouest France, Philippe Goetzmann revient sur l’habile reconversion et coup marketing de l’enseigne Lidl.
Cet article reprend les propos de Philippe Goetzmann, notamment lorsqu’il évoque l’incompatibilité du dispositif « prix plancher » avec le droit de l’Union Européenne.
Philippe Goetzmann et d’autres intervenants parlent prix plancher, compétitivité, relations commerciales entre agriculteurs et distributeurs lors de cette table ronde enregistrée au SIA 2024.
Interrogé par Sud Radio, Philippe Goetzmann décrypte l’impact que la Loi Descrozaille et l’interdiction des promotions de plus de 34% sur le non-alimentaire auront sur la consommation.
Invité de l’émission Julie Jusqu’à Minuit du 20 février 2024, Philippe Goetzmann évoque la fin anticipée des négociations commerciales annuelles et l’effet « baisse des prix » recherché.
Cité dans cet article de LSA, Philippe Goetzmann rappelle que contrairement aux idées reçues, les Français paient cher leur alimentation et que les marges des distributeurs ne sont pas si élevées : la vraie question, c’est la compétitivité de l’agriculture française.