Societal Angels – Podcast : Les Pieds Dans Le Plat #10
Il faut un signal prix en direction du consommateur : pour manger à meilleur impact, il faut un bénéfice prix pour les produits qui sont bons pour la planète et la santé et non l’inverse.
Il faut un signal prix en direction du consommateur : pour manger à meilleur impact, il faut un bénéfice prix pour les produits qui sont bons pour la planète et la santé et non l’inverse.
Lors de l’Assemblée Générale d’Interfel le 24/09 dernier, Philippe Goetzmann analysait les évolutions de la consommation et leur impact sur la filière : dépense alimentaire stagnante, changements des habitudes, baisse des volumes… Comment s’adapter ?
Article de Justine Papin
Cet article rédigé par Eric Young reprend les travaux présentés par Philippe Goetzmann et les experts qui l’accompagnent sur les dynamiques de la consommation et leurs impacts sur les stratégies d’acteurs à l’Académie d’Agriculture de France.
Déjà affaiblie, l’industrie française paye cher la crise inflationniste et le phénomène de déconsommation que le pays connaît. Selon Philippe Goetzmann, renforcer la filière passe entre autres par la consolidation des entreprises françaises, trop nombreuses et trop petites.
Article rédigé par Olivia Détroyat.
Un groupe mené par Philippe Goetzmann présente l’avancée de ses travaux sur les tendances de consommation et la manière dont elles influencent l’amont de la filière alimentaire, dans le but de produire un rapport pour la fin de l’année.
Invité par l’interprofession des fruits et légumes Interfel, Philippe Goetzmann a, entre autres, expliqué à l’assemblée pourquoi il ne faut pas espérer que les dépenses alimentaires des Français augmentent.
Interviewé par Eric Young pour la France Agricole, Philippe Goetzmann lui parle de l’erreur politique de forcer la montée en gamme et du manque de compétitivité de la filière agroalimentaire.
Pour Philippe Goetzmann, l’Etat français souhaite contrôler les relations commerciales et fait pression sur la grande distribution, quitte à créer un régime d’exception en dissonance avec les pratiques européennes et internationales.
Philippe Goetzmann est ici cité par Florence Rabut.
Les attentes des consommateurs sont aujourd’hui multiples et l’offre doit se personnaliser. L’enjeu principal : l’externalisation de la tâche de cuisiner.
Au micro de Christophe Duhamel, Philippe Goetzmann rappelle que si les Français souhaitent consommer local, ils sont contraints par leur pouvoir d’achat. L’alimentation Made in France est souvent trop chère. Alors pour conserver notre souveraineté alimentaire, mieux vaut choisir ses importations, maîtriser ses dépendances, penser durable et valoriser le savoir-faire français.